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L’Ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem est un ordre de chevalerie, placé sous l’autorité directe du Pape et dirigé par un Cardinal Grand Maître, qui œuvre pour aider la communauté chrétienne de Terre Sainte dépendant du Patriarcat latin de Jérusalem, et répartie aujourd’hui sur les territoires de Jérusalem, d’Israël, de Palestine, de Jordanie et de Chypre.
 

Sa devise est « Deus lo vult » (Dieu le veut).

L’Ordre comporte actuellement environ 30.000 membres présents dans plus de trente-cinq pays.

Les membres prennent un double engagement : 

- Soutenir spirituellement et matériellement (écoles, cliniques, orphelinats, …) les chrétiens de Terre sainte 

- Approfondir ensemble leur foi

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Nos dernières nouvelles

Cana en Galilée : joie des noces et du cessez-le-feu

Le dimanche 19 janvier, lors de la célébration des noces de Cana, une grande joie a enveloppé la Terre Sainte. Fr. IBRAHIM FALTAS, ofm Vicaire de la Custodie de Terre Sainte «  Aujourd'hui est un jour spécial : nous célébrons le miracle des noces de Cana en Galilée. Mais toute la Terre Sainte célèbre aussi un autre "mariage" : le cessez-le-feu. Nous sommes remplis de joie à l'annonce de cette trêve, et nous prions Dieu qu’elle soit le début d’une paix authentique pour les peuples palestinien et israélien. » Pour l'occasion, les fidèles sont arrivés de Nazareth et de toute la Galilée jusqu'à l'Église du Premier Miracle de Jésus-Christ, construite sur les ruines du lieu où s'est produite la transformation de l'eau en vin lors des noces de Cana. Fr. HAITHAM YALDA HANO, ofm Curé latin de Cana, Galilée «  En 1600 après J.-C., lorsque les franciscains sont arrivés sur le site, ils ont commencé des fouilles, mettant au jour les vestiges d'une église byzantine datant du IVe siècle. Ils ont également découvert une jarre datant du Ier siècle après J.-C., un témoignage que les noces de Cana, un événement d'une grande importance, ont bien eu lieu ici. » La messe solennelle a été présidée par le Fr. Ibrahim Faltas, vicaire custodial, accompagné de nombreux frères de la Custodie. Lors de son homélie, le frère Ibrahim a déclaré que le Christ était venu pour transformer nos vies, leur apportant joie et amélioration. Il a poursuivi en expliquant que le premier miracle de Jésus a été la transformation de l'eau en vin, tandis que le dernier a été la transformation du vin en Son sang lors de la Cène, pour nous donner la vie éternelle. Il a également abordé les difficultés et crises rencontrées aujourd'hui par de nombreuses familles. Fr. IBRAHIM FALTAS, ofm Vicaire de la Custodie de Terre Sainte «  Les noces de Cana nous offrent un exemple de ce que devrait être la vie conjugale. Le Christ était présent et, lorsque le vin vint à manquer, Il est intervenu, sauvant la situation. Nous répétons toujours à tous, en particulier aux jeunes couples : mettez toujours le Christ au centre de votre foyer. » Le Fr. Ibrahim Faltas a également souligné que le seul commandement donné par la Vierge Marie était celui adressé aux serviteurs lors des noces, et qu'il était valable aussi pour nous : « Tout ce qu'Il vous dira, faites-le. » La Vierge Marie a reçu de grandes bénédictions en répondant oui à l'appel du Seigneur, sans se laisser influencer par la logique humaine. Pendant la messe, les fidèles ont renouvelé leurs promesses matrimoniales. Des roses ont été offertes aux épouses, tandis que des petites bouteilles de vin, symboles d'amour et de joie, ont été données aux maris. RABAB ZITOUN Cana, Galilée «  Pour moi, en tant qu'épouse, et pour mon mari, il est essentiel de constamment renouveler nos vœux de mariage, et de maintenir le Seigneur au centre de nos vies. Car, sans Lui, le mariage ne peut perdurer.  » LUAI ZAHER Cana, Galilée «  Cette fête est aussi celle de la Sainte Famille, puisque les époux renouvellent leurs promesses matrimoniales en suivant l'exemple de Jésus, Marie et Joseph. » Fr. IBRAHIM FALTAS, ofm Vicaire de la Custodie de Terre Sainte «  La guerre est terminée, et nous invitons tout le monde à revenir en Terre Sainte. Nous leur lançons un appel pour qu'ils viennent en vrais pèlerins. » La scène des noces de Cana et de la transformation de l'eau en vin regorge de significations spirituelles profondes. Certains Pères de l'Église la comparent à l'Église elle-même, représentée par la présence du Christ, de la Vierge, des disciples et des invités remplis de joie. Source: Site Web Christian Media Center Photo: © Christian Media Center Video: © Christian Media Center © Ordre Équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem – Lieutenance de la Belgique

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Soutenir la Terre Sainte… à distance

Chaque acte de soutien envers la Terre Sainte est un geste de solidarité qui non seulement préserve la paix, mais aussi la spiritualité d’un lieu qui est au cœur de notre foi. Le Fr. Diego, responsable du couvent de Gethsémani, nous parle ainsi d'une initiative musicale en faveur de la Terre Sainte et des chrétiens qui y vivent. L'art y devient un pont entre les cultures, et enseigne comment chacun d'entre nous, par des gestes concrets, peut faire la différence. Fr. Diego Dalla Gassa, ofm Responsable du couvent du Gethsémani «  Venir ici visiter les Lieux Saints représente, pour les chrétiens qui y vivent, un signe d’espoir, un retour à la normalité, même dans un contexte où les conflits persistent. De nombreux chrétiens du monde entier souhaitent revenir sur ces terres en pèlerinage, mais nous ne devons pas nous en contenter. Notre mission est aussi d’aller à l’étranger pour sensibiliser. Lorsque les gens réalisent que leur aide – même minime – sert à soutenir les chrétiens en difficulté et à préserver les lieux saints, leur geste prend une valeur encore plus profonde. » Le 21ᵉ Concert Pro Romitaggio – devenu ces dernières années Pro Terra Santa – se tient chaque année en janvier dans la région de Brescia, en Italie, généralement le deuxième dimanche du mois, lors de la Fête du Baptême du Seigneur. L'événement est organisé par la Communauté Shalom – Regina della Pace, dirigée par la Sr. Rosalina. Il rassemble de nombreux chanteurs et artistes, dont certains de renommée nationale, qui se produisent gratuitement. L’intégralité des fonds collectés est reversée aux chrétiens les plus démunis, en particulier ceux vivant dans des conditions difficiles, afin de leur apporter un soutien concret et tangible. Fr. Diego Dalla Gassa, ofm Responsable du couvent du Gethsémani «  L’intégralité des fonds nous est remise, et nous en sommes profondément reconnaissants. Face aux immenses besoins de la Terre Sainte, meurtrie par les conflits, notre contribution peut sembler dérisoire. Pourtant, comme le disait Mère Teresa de Calcutta : "Même une petite goutte d'eau rend l’océan plus grand." » Dans un monde souvent marqué par les conflits et les divisions, la solidarité ne passe pas seulement par des actions concrètes. Comme on le rappelle souvent, un simple geste peut suffire à construire des ponts de compréhension plutôt que des murs de séparation. Fr. Diego Dalla Gassa, ofm Responsable du couvent du Gethsémani «  C'est un message de solidarité. Nous avons évoqué la nécessité du dialogue et du changement. Nous devons être ceux qui annoncent la paix et le respect plutôt que le préjugé.  » Source: Site Web Christian Media Center Photo : © archives photographiques personnelles lds Video: © Christian Media Center © Ordre Équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem – Lieutenance de la Belgique

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Coordination Terre Sainte : soutien à l’Église de Terre Sainte

«  Nous sommes venus pour vous dire que vous n’êtes pas seuls, que nous ne vous avons pas oubliés. Votre foi et votre résilience renforcent notre propre foi. Nous espérons que notre présence parmi vous vous encouragera et inspirera les chrétiens de nos différents pays à revenir en pèlerinage en Terre Sainte. » C'est sur ces mots que s'est achevée la visite de la Coordination Terre Sainte. Du 18 au 23 janvier, des évêques de plusieurs conférences épiscopales, notamment des États-Unis, d’Angleterre, d’Allemagne et d’Espagne, sont ainsi revenus, en pèlerins, en Terre Sainte. Pendant leur voyage, l’attention s’est portée sur la situation actuelle et ses répercussions sur la communauté chrétienne de Gaza et de la Cisjordanie. Créée à la fin du siècle dernier, lorsque le Saint-Siège a proposé aux évêques de différents pays de coordonner leurs efforts et leur engagement envers les Églises en Terre Sainte, la Coordination a connu une semaine riche en expériences significatives. Les évêques ont ainsi rencontré le Patriarche de Jérusalem des Latins et le nonce apostolique, et écouté le P. Gabriel Romanelli, curé de Gaza, et ses paroissiens. Ils ont également passé une journée avec Caritas Jérusalem, visitant des projets à Taybeh et Ramallah. Dans leur déclaration finale, les évêques ont exprimé leurs remerciements. « Merci pour votre accueil chaleureux, » ont-ils écrit, «  et merci de nous avoir aidés à comprendre les efforts extraordinaires réalisés dans les domaines de la santé et de l’éducation. Merci également d'avoir partagé avec nous les difficultés que vous affrontez chaque jour.  » Mgr NICHOLAS HUDSON Modérateur – Coordination Terre Sainte « Nous sommes profondément impressionnés par les différentes organisations caritatives qui travaillent avec les chrétiens et d’autres dans le besoin à travers la Terre Sainte. Nous sommes touchés par leur générosité d’esprit et leurs dons simples. Nous avons été particulièrement émus d’entendre parler de toutes les initiatives dans les domaines de la santé et de l’éducation. Nous savons que de nombreux chrétiens vivent des moments difficiles, avec des restrictions touchant les membres de leurs communautés. Et puis il y a le chômage : ce ne sont pas seulement les chrétiens qui en souffrent, bien sûr, mais aussi beaucoup d’autres confessions. » L’essence de cette Coordination repose sur 4 « P » : la P résence, la P rière, le P èlerinage et la  P ression. Mgr NICHOLAS HUDSON Modérateur – Coordination Terre Sainte «  Le premier de ces “P” est la  P résence : nous sommes venus affirmer à tous les chrétiens qui choisissent de rester en Terre Sainte que nous soutenons leur engagement à rester fidèles au Christ sur la terre de Sa mort et de Sa résurrection. Le deuxième “P” est la  Pr ière : nous venons prier avec les chrétiens de Terre Sainte, et, en priant avec eux, nous leur assurons que nous continurons de prier pour eux dans nos pays respectifs. Le troisième “P” est le P èlerinage : nous sommes venus pour mieux comprendre les défis auxquels sont confrontés les pèlerins lorsqu’ils se rendent en Terre Sainte. Nous espérons que notre visite encouragera d’autres à revenir, car il est temps de retrouver cette présence aux côtés des chrétiens de Terre Sainte.  » Nous nous unissons, poursuit le communiqué, au Patriarche Pizzaballa et aux Ordinaires catholiques de Terre Sainte, dans l’espoir que le cessez-le-feu ne soit pas seulement une pause dans les hostilités, mais marque le début d’une paix véritable et durable ; «  comme une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu’à ce que le jour se lève et que l’étoile du matin se lève dans vos cœurs. » (2 Pierre 1:19) Source: Site Web Christian Media Center Photo: © Christian Media Center Video: © Christian Media Center © Ordre Équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem – Lieutenance de la Belgique

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Selon le Patriarche de Jérusalem, la paix commence par un pas et des choix concrets

Au milieu des décombres de la guerre et de la souffrance qui imprègne Gaza s'élève une voix porteuse d'espoir pour le monde, une voix qui invite l'humanité à soigner les blessures et à tracer un chemin vers la dignité et la paix. Le 16 janvier, le cardinal Pierbattista Pizzaballa, patriarche de Jérusalem des Latins, a adressé un message à toute l'humanité, rappelant que la fin de la guerre ne marquait pas la fin du conflit, et que la paix n'était pas simplement l'absence de combats, mais la construction d'une justice qui redonne de la valeur à l'être humain et du sens à la vie. Il a invité chacun à prendre la responsabilité de bâtir un avenir meilleur. S. B. le cardinal PIERBATTISTA PIZZABALLA Patriarche de Jérusalem des Latins «  La nouvelle du cessez-le-feu est très positive, évidemment, et nous l’attendions depuis longtemps. Ce n’est toutefois pas la fin du conflit, même si une phase importante commence maintenant. Avec la fin des violences, nous devons également bâtir ou rebâtir un semblant de confiance entre les deux parties, afin de résoudre avant tout le grave problème humanitaire à Gaza, et pas seulement là-bas.  » S. B. le cardinal PIERBATTISTA PIZZABALLA Patriarche de Jérusalem des Latins «  Je pense qu’il est trop tôt pour parler de paix. Le cessez-le-feu n’est pas la fin du conflit, comme nous l’avons déjà dit. La paix nécessite des conditions, des attitudes, qui ne sont pas encore réunies et qui doivent encore être construites. Ce cessez-le-feu est toutefois assurément une étape nécessaire, accueillie favorablement, et essentielle pour initier ces processus qui, je le répète, seront longs et qui, je l’espère, mèneront à la justice, à la paix, à la sécurité ainsi qu’à la dignité et à la vérité pour tous.  » En réponse à une question sur la communauté chrétienne à Gaza, le cardinal a souligné que les chrétiens partageaient la souffrance de Gaza comme tous les autres, car ils font partie intégrante du tissu social de la Terre Sainte, et ont traversé les mêmes douleurs et enduré les mêmes conditions difficiles. S. B. le cardinal PIERBATTISTA PIZZABALLA Patriarche de Jérusalem des Latins «  À Gaza, tout le monde a été touché par ce conflit, et les chrétiens n'ont pas fait pas exception. Ils ont tout perdu, comme nous le savons tous - nous l’avons dit à plusieurs reprises. Ils sont tous regroupés dans les complexes des Églises latine et orthodoxe, dans l’attente de jours meilleurs. Même avec le cessez-le-feu, il n’y a pas de perspectives immédiates, car la reconstruction prendra beaucoup de temps. Mais nous sommes tous très heureux que cette communauté ait réussi à traverser ce conflit dramatique et difficile de manière aussi exemplaire, d'un point de vue chrétien. » S. B. le cardinal PIERBATTISTA PIZZABALLA Patriarche de Jérusalem des Latins «  Nous sommes dans l’année de l’espérance, le Jubilé étant un signe d’espérance. Or l'espérance a aussi besoin d’actions concrètes - et ce n'est que la première étape, qui devra être suivie de beaucoup d’autres. Après la guerre, nous devons penser à la reconstruction. La reconstruction matérielle sera très compliquée et prendra beaucoup de temps. Mais il y a aussi la reconstruction des relations qui ont été détruites, de la confiance qui a été profondément blessée, voire mortellement blessée, entre Palestiniens et Israéliens. Sans parler des déchirements au sein même des populations respectives, divisées sur le conflit et la manière d’y faire face. Tout cela prendra du temps. Nous ne devons pas oublier la dignité et la vérité dans nos relations. Les délais seront très longs, il ne faut pas se bercer d’illusions, mais il faut s'y mettre dès maintenant.  » Source: Site Web Christian Media Center Photo: © Christian Media Center Video: © Christian Media Center © Ordre Équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem – Lieutenance de la Belgique

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